Les chevaliers du brouillard – 15 février 1881
Avec une audace incroyable, une bande nocturne démolissait les devantures et pillait les boutiques. Elle apportait même dans ses exploits une sorte de fantaisie.
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Lire la suiteVers 1844 ou 1845, avisé, par les récits que faisaient les journaux, qu’une partie de la montagne de Montmartre s’était détachée de la pointe qui regarde le faubourg Saint-Denis, et était descendue sur les maisons de la rue Saint-André, qu’elle…
Lire la suiteMe promenant de nuit dernièrement sur les bords du canal Saint-Denis, je fis cette remarque que ces parages sont hantés par des nuées de vagabonds et complètement dénués de surveillance.
Lire la suiteRespicere exemplar vitœ morumque jubebo Doctum imitatorem, et veras hinc ducere voces. [1] Hor., Art poét.
Lire la suite« Ô Privat d’Anglemont, où es-tu ? On enterrait, l’autre jour, à la Chapelle, un de ces types dont tu dévoilas les industries innommées, et qui méritait une place d’honneur dans ta galerie haillonneuse et macabre.
Lire la suiteIl y a bien longtemps qu’elle est défunte, la Place Maubert des chansonniers. A la place Maub’ l’avez-vous vue, C’était la plus bath du troupeau…
Lire la suiteJe ne sais pas si vous êtes comme moi ; rien ne m’horripile comme de voir des gens intelligents parler à tort et à travers de choses qu’ils ne connaissent pas, qu’ils n’ont jamais vues, qu’ils ne se donnent pas la…
Lire la suite« Le pâté de maisons compris entre le boulevard Saint-Germain et le quai de Montebello contient encore quelques curieux spécimens des vieux tapis-francs d’autrefois. Dans une ruelle, à côté de la boutique dégoûtante d’un tripier, en face d’un marchand de vieux…
Lire la suiteUn improvisateur d’un autre genre était Eugène de Pradel, j’ai conservé une de ses cartes. elle date de 1847.
Lire la suiteLa dernière ressource des femmes qui n’ont plus de ressources, le dernier asile de celles qui n’ont plus d’asile, c’est le caboulot. C’est là que l’on retrouve toutes celles qui ont survécu et qui n’ont pas eu l’habileté ou la…
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